A la salle de musculation, quand on débute ou même pour les pratiquants confirmés il est fréquent de réaliser de nombreuses erreurs, des choses à ne pas faire ! Il y a des conseils de base comme «Ne pas arrondir votre dos» ou «Ne pas verrouiller vos bras » mais il y en a beaucoup d’autres qui ne sont pas liés spécifiquement à un exercice. Avec cela à l’esprit, voici cinq choses supplémentaires que vous devriez éviter en musculation si vous souhaitez booster vos résultats!
Les 5 erreurs de récupération les plus courantes :
Le surentrainement :
Le surentrainement peut avoir plusieurs causes dont les plus communes sont directement liées à la fréquence des séances. Accordez-vous des jours de repos et oubliez les programmes en double split, deux fois par jour, six jours par semaine. Dans leur majorité, les meilleurs pros limitent à une séance par semaine le travail de chaque groupe musculaire.
L’insuffisance du sommeil :
Avec l’apparition de stress, la motivation a la pratique d’exercices physiques a tendance à être en berne, de ce fait les performances stagnent voir baisses, la récupération est également défectueuse par un sommeil non réparateur, et votre régime alimentaire tant a changé.
C’est l’ensemble de nombreux facteurs qui au bout du compte font d’une période de stress un moment non propice au développement musculaire.
Le sommeil est connu et reconnu comme étant apaisant, précieux, important,C’est durant la phase de récupération que les tissus musculaires se réparent et se développent. Cette phase sert également à la restauration hormonale, le règlement de l’oxygène, l’intégrité du système immunitaire, la production prostaglandine et la bonne santé cardiovasculaire.
Un manque de repos entraîne invariablement une baisse de performance lors des exercices sportifs, une perte d’appétit, une irritabilité et des troubles du sommeil, une fatigue chronique, des douleurs musculaires ainsi qu’une baisse des défenses immunitaires qui protègent l’organisme des maladies et bactéries. Le temps de récupération est aléatoire et dépend essentiellement de la constitution des individus et des séances d’exercices effectués. Néanmoins, cette phase tient une part tout aussi importante que l’entraînement en le lui-même, et le régime alimentaire suivi.
Une nutrition inadaptée :
L’entraînement avec charges oblige les muscles à grossir… à condition que le régime de l’athlète lui garantisse un apport adéquat de nutriments. Pris en quantités suffisantes et selon les bonnes combinaisons, les nutriments fournis par les aliments et les suppléments constituent le carburant du développement musculaire. Les protéines maigres, les glucides complexes et des lipides sont les sources de calories denses nécessaires pour se muscler. Même si votre plan d’entrainement est bien conçu, que vous vous reposez beaucoup, que votre mode de vie est exempt de stress, une alimentation anarchique réduira tous vos efforts à néant.
Le stress :
Avec l’apparition de stress, la motivation a la pratique d’exercices physiques a tendance à être en berne, de ce fait les performances stagnent voir baisses, la récupération est également défectueuse par un sommeil non réparateur, et votre régime alimentaire tant a changé.
C’est l’ensemble de nombreux facteurs qui au bout du compte font d’une période de stress un moment non propice au développement musculaire.
Un entraînement déséquilibré :
Un programme de bodybuilding bien dosé s’articule sur quatre composantes : musculation, cardio, régime et récupération. Même si l’on s’entraîne dans les limites de chacune de ces composantes, on peut malgré tout basculer dans la zone rouge du surentraînement. Il faut développer une aptitude intuitive à surveiller son corps. Trouvez votre propre limite, mais prémunissez-vous contre la paresse.