Comment savoir si on a une bonne génétique pour la musculation ?
Est-ce que la musculation est génétique ?
Musculation et génétiques : Dans le monde de la musculation il y’a beaucoup de règles à suivre, avant de vous montrer tout ça, il est très important que vous sachiez aussi qu’il existe 7 variables génétiques majeures qui affectent votre capacité à brûler votre graisse, et aussi à augmenter votre masse musculaire et à accroitre votre force pour arriver à votre objectif.
Le fait de découvrir, et de comprendre ces variables vous aidera à comprendre comment la nutrition et les entraînements peuvent vous affecter positivement et différemment les uns des autres.
Quels sont les facteurs génétiques ?
Le taux métabolique basal
Votre taux métabolique basal est la quantité d’énergie que vous brûlez au repos chaque jour, pour maintenir les fonctions normales de l’organisme telles que la respiration, la circulation et la digestion, etc. L’homme a besoin en moyenne d’environ 1900 Kilocalories et la femme de 1400 Kilocalories.
Le nombre de cellules adipeuses
Certaines personnes naissent avec plus de cellules graisseuses que d ‘autres, et les femmes ont plus de cellules adipeuses que les hommes.
Le nombre et le type de fibres musculaires
Comme pour les cellules graisseuses, vous êtes nés avec un nombre prédéterminé de fibres musculaires. Ces dernières grossissent, suivant un processus qui s’appelle hypertrophie ou bien, elles peuvent diminuer en taille et c’est ce qu’on appelle l’atrophie. Les fibres musculaires peuvent se multiplier en nombre, cela signifie que si vous êtes nés avec un grand nombre, vous avez plus de potentiel de croissance musculaire que d’autres qui sont nés avec moins de fibres.
Il existe également différents types de fibres musculaires. Certaines conviennent au travail d’endurance (fibres à contraction lente) tandis que d’autres sont adaptées pour la force, la puissance et le travail explosif (fibres à contraction rapide). La différence dans la répartition des fibres musculaires de chaque personne peut expliquer pourquoi certaines personnes font de meilleures athlètes d’endurance tandis que d’autres sont attirées par la force ou la puissance du sport.
La longueur de vos membres et la taille de vos articulations
Certaines personnes naissent avec de longues jambes et de longs bras, d’autres avec des jambes courtes et des bras courts. La longueur du membre peut affecter la forme et la symétrie de votre corps. Elle peut également influencer votre force, ainsi que la capacité à gagner du muscle. Avoir de longs membres signifie posséder un long levier, et c’est ce qui peut créer un désavantage mécanique lors de l’exécution de certains exercices.
C’est pour cela que les personnes de grande taille ont des difficultés à performer dans les squats et les développés couchés. En outre, la taille de vos articulations affecte la forme de votre corps. Ainsi, avoir de gros os n’a rien à voir avec la graisse du corps ou avec votre capacité à la brûler.
Les différences digestives
La structure et la fonction du système digestif de chaque personne varient considérablement d’un individu à un autre. En effet, la largeur de l’oesophage peut varier au moins quatre fois, ce qui peut affecter la quantité de nourriture avalée.
L’estomac humain varie également en taille. Effectivement, certaines personnes peuvent surmonter la sensation de faim six à huit fois plus que d’autres. Aussi, la sécrétion des enzymes digestives et des fluides gastriques peut varier.
Certains individus ont la digestion plus facile et efficace, ce qui leur permet de mieux absorber et de mieux digérer les nutriments. De même, les hormones peuvent aussi affecter la façon avec laquelle le corps réagit, par exemple la réponse des hormones qui signalent au cerveau que le corps a faim et qui sont produites dans le tube digestif peut différer d’une personne à une autre.
Les allergies alimentaires
Certaines personnes naissent avec des tendances allergiques ou des sensibilités alimentaires. Deux exemples courants sont l’intolérance au lactose (incapacité à digérer les produits laitiers) et l’intolérance au gluten (une allergie à une protéine présente dans le blé et d’autres céréales).
La tolérance aux glucides
Le corps de certains individus n’arrive pas à assimiler les sucres et ces derniers souffrent souvent d’une glycémie sanguine élevée et de différents problèmes métaboliques liés à l’insuline et aussi à une aggravation de leur état lorsqu’ils mangent de grandes quantités de glucides (sucres rapides et sucres lents).
Ainsi, vous pouvez rester en bonne santé et pleins d’énergie tout en mangeant les bonnes quantités de riz, de patates douces et de flocons d’avoines, tandis que d’autres prennent de la graisse et sont toujours de mauvaise humeur et affaiblis suite à leur consommation excessive de sucreries et de sucres lents.

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